Meursault, Raymond, Salamano, Marie, l’Arabe. Qu’est-ce qu’on remarque ici ? Dans le roman « L’étranger » écrit par Albert Camus il y a une groupe dans laquelle les personnes ont de noms. Et il y a une groupe dans laquelle les personnes sont des Arabes. L’histoire de ce roman se déroule dans l’Algérie, entre les deux guerres mondiale. Albert Camus était fortement influencé par le conflit pour l’indépendance d’Algérie. Comment peut-on voir ce conflit représenté dans le roman ?
L’Algérie était divisé en deux groups majeurs : Les pieds-noirs, des personne qui vivent dans l’Algérie ayant un origine européenne, et les personnes algériennes avec l’origine dans l’Afrique, dans le roman ce sont les Arabes. Dans le temps quand l’Etranger était écrit, on sentait déjà les tensions entre les Arabes qui s’opposent contre la puissance coloniale, la France, et les pieds-noirs qui supportaient la France. Albert Camus lui-même était un pied-noir, qui avait un opinion assez complexe. Il se regardait comme l’avocat pour la paix et le compromis : D’une part il supportait des amélioration de droit et de l’éducation pour les Arabes. D’autre part, il ne demandait pas le droit pour voter pour les Arabes et il voulait que l’Algérie reste français, disant que la France doit faire une deuxième conquête pour gagner le cœur et l’esprit des Algériens.
"J'entends bien qu'un tel peuple ne peut être accepté de tous." Albert Camus, 1939 (L'été à Alger)
Remarquable dans le livre est que les Arabes n’ont pas de noms. On se demande bien sûr pourquoi pas. Ne pas donner un nom à un group ou des personnes indique qu’on ne respect pas ses personnes comme des individues avec un personnalité distinct. On ne juge pas les personnes sont nom par leur personnage mais tout d’abord par le groupe dont ils sont part. Le fait, que les Arabes n’ont pas de noms, montre d’une part comment ‘les Arabes’ était aperçu par les pieds-noirs d’Algérie. En même, ce fait nous dit aussi quelque chose sur la perception d’Albert Camus : En 1939, dans le texte ‘L’été à Alger’, Albert Camus décrit le peuple de ce pays (Les Arabes) comme ‘un peuple enfant’ sans religion et sans idoles. Camus ajoute, qu’il peut comprendre que tel peuple ne peut pas être accepté par tous. Les Arabes sans noms rendent donc la perception des pieds-noirs mais aussi tel de Camus comme un peuple moins développe que les pieds-noirs.
"J'ai l'espoir insensé qu'à leur insu peut-être ils sont en train de modeler le visage d'une culture où la grandeur de l'homme trouvera enfin son vrai visage." Albert Camus, 1939 (L'été à Alger)
Par contraste, les Arabes ne sont pas confronté par un système judicaire injuste : La police aide la copine (Arabe) de Raymond (pied-noir) quand elle est battue et Meursault est condamné à mort en raison d’un assassinat contre un Arabe. Cela est une différence compare avec des autre opinion racistes ou le peuple ‘inferieur’ valent normalement moins, aussi pour le système judicaire. On voit ici que Camus ne regardait pas les Arabes comme un peuple complètement inferieur : Malgré ses déclarations mentionné en haut, il aussi écrivait que les Arabes avait aussi leur principes qui lui semblait juste et forte. Camus continuait disant qu’il avait « l'espoir insensé qu'à leur insu peut-être ils sont en train de modeler le visage d'une culture où la grandeur de l'homme trouvera enfin son vrai visage ».
Par conclusion, on peut dire que l’opinion politique, qui semble parfois contradictoire, de Albert Camus se trouve aussi dans l’œuvre ‘L’étranger’. Les Arabes n’ont pas de noms et sont ‘un peuple enfant’. En même temps ils ont de principes juste et forte et ils ne sont pas défavorisé par le système judicaire. Albert Camus ne demandait pas le droit pour voter pour les Arabes, mais il luttait pour une meilleure éducation pour les Arabes.